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SISSY HUMILIATION

Être une sissy demande de faire beaucoup d’efforts mais lorsque la sissy y prend beaucoup de plaisir, cela devient facile pour elle.

La Maîtresse façonne la sissy à son image pour la transformer physiquement mais aussi psychologiquement, jusqu’à en avoir une addiction pour les accessoires roses, les vêtements en satin, en tulle, à froufrou… Bref, être une vrai sissy girly !

Dans ce cas, généralement, les sissy ne se sentent pas humiliées, au contraire, elles ont l’impression d’être elles-mêmes. Elles se sentent bien ! Je parle régulièrement de cette féminisation, celle qui apporte de la satisfaction à la sissy, mais il y a aussi des jeux de féminisation pour humilier son esclave, celle que l’on adopte lorsque le soumis ne se sent pas du tout attiré par le fait de devenir une sissy.

J’aime beaucoup utiliser le travestissement pour casser la virilité de mes soumis, pour humilier les machos… et ça fonctionne tellement bien qu’au bout de quelques séances, le soumis commence à ne plus se sentir humilié par la féminisation ridicule que je lui impose et son comportement vis-à-vis des femmes devient de plus en plus correcte ! Malheureusement, beaucoup de soumis refusent de jouer le jeu, c’est trop pour eux !

Des tenues humiliantes

En général, je commence doucement avec de la lingerie à porter à la maison ou pendant les sessions de ménage. Je fais en sorte que la lingerie ne soit pas trop sexy, je penche plutôt pour des couleurs roses flashy, des strings à froufrou ou avec des bijoux dessus, des culottes avec des messages du style « je suis gay » ou « je suis une salope » et des tenues de soubrette complétement ridicules qui ne font qu’accentuer l’humiliation.

Une cage de chasteté ROSE !

La cage de chasteté est assez difficile à supporter, c’est humiliant de ne plus pouvoir contrôler son gros clito mais, à contrario, elle peut diminuer l’humiliation que ressent le soumis puisqu’elle empêche la Maîtresse de se moquer de son soumis en voyant sa petite bite gonflée dans sa culotte. Le soumis se sent donc plus en sécurité dans sa petite cage, c’est pour cela que je mise sur une cage de chasteté de couleur rose afin de lui rappeler qu’il doit se décharger de ses habitudes de mâle.

Le surnom de la Sissy

Autant je trouve que le prénom d’une sissy est très important lorsque celle-ci a besoin de la féminisation car elle reconnait son coté féminin et s’y plait totalement, autant je prends beaucoup de plaisir à trouver un surnom ou un prénom ridicule lorsque les jeux de sissyfication sont dans le but d’humilier.

Il ne faut pas s’étonner de m’entendre appeler une sissy « sac à foutre » ou « Gertrude »… c’est tout à fait dans le thème de l’humiliation.

La beauté est dans les détails

Bien entendu, la sissy doit parler d’elle au féminin et avoir une démarche féminine, si possible marcher en talons et rouler du cul pour faire rire sa Maîtresse !

Elle devra prendre des postures féminines et sexy, y compris chez elle pendant le télétravail, c’est un excellent entrainement !

Du macho… à la soubrette 🙂

Envie de suivre mes instructions pour faire le ménage et exécuter mes ordres et petits jeux tout au long de ta session ménage ? Va vite écouter mon podcast ICI !


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4 Comments

  • Julie

    Bonjour Maîtresse Anna,

    J’ai lu avec attention et intérêt votre article.

    Personnellement ça m’a été présenté autrement ; « Avec le cul et les jambes que tu as je vais faire de toi une gonzesse. Tu ne sauras pas être une vraie femme mais je te fais l’honneur d’essayer de t’en approcher et de devenir un objet de désir et de convoitise »

    Certe ça n’a pas été facile au début mais plusieurs femmes m’ont indiqué que ça m’allait vraiment bien et on m’a refusé une fois de me vendre une jupe longue car elle allait cacher mes jambes.

    J’en suis toujours un peu honteuse en public mais ma Maîtresse ne manque jamais de m’indiquer quand et qui matte mon cul comme si j’étais une vraie femme. Je partage ainsi une part du poids social d’être une femme dans certaines circonstances.

    julie

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